Réseau artcontemporainParis / Île-de-France

Taxitram du samedi 13 avril 2019

Centre Photographique d'Île-de-France >>> Centre d'art contemporain de la Ferme du Buisson >>> frac île-de-france, le plateau, paris

Paul Pouvreau, Le magazine des jours au Centre Photographique d’Île-de-France

Dix ans après sa participation à l’exposition collective intitulée L’Île de Morel, Paul Pouvreau présente au CPIF une monographie.

La proposition, qui s’attache à parcourir l’oeuvre d’un des artistes les plus passionnants de sa génération (né en 1956, à Aulnay-sous-Bois), articule des images anciennes à de plus récentes, produites pour l’occasion.

Utilisant des matériaux du quotidien, ustensiles ménagers, poussière, emballages en carton, sacs plastiques, affiches publicitaires, Paul Pouvreau bâtit des espaces et des moments poétiques : des incidents dans un quotidien de signes mornes ; des illuminations de sens et de petits plaisirs visuels. (…)

 

Take Care au Centre d’art contemporain de la Ferme du Buisson

Take care : prendre soin, entretenir, soutenir, exprimer de l’empathie, mettre en garde contre les risques. Comment politiser, organiser ou revaloriser cette capacité humaine perçue comme un don renouvelable à l’infini ? Pour évoquer cette notion encore méconnue en France, La Ferme du Buisson invite la commissaire canadienne Christine Shaw à déployer une exposition en sept « scènes » du soin. À travers installations, films, dessins, ateliers, performances d’artistes canadiens et internationaux, son projet se propose d’explorer les significations et les pratiques ainsi que les forces politiques, économiques et technologiques qui façonnent actuellement le care. Et montrer ce qu’ils impliquent de relations de pouvoir, de souci et de contrôle, d’empathie et d’épuisement, de dépendance et d’interdépendance, de systémique et d’intime.

 

La Rivière m’a dit au frac île-de-france, le plateau, paris 

Aborder aujourd’hui la question de la nature nous place inévitablement dans une perspective sombre. La Rivière m’a dit propose un parcours teinté de nostalgie, les images diffusées semblent, comme autant d’apparitions, faire l’écho d’une sorte de paradis perdu. Composée de vidéos majoritairement issues de la collection, l’exposition se déroule comme un long poème visuel : un paradis perdu ou, plus positivement, un espace providentiel de vraie régénérescence.