Du 15 - 05 au 13 - 07 - 2024
Ces voix qui m’assiègent…
Inauguration samedi 4 mai à 17h
Visible tous les jours (cour principale et cour de l’annexe)
Entrée libre
Sous le commissariat d’Émilie Goudal et Nataša Petrešin-Bachelez, cette exposition, dont le titre emprunte les mots d’Assia Djebar, réunit une sélection d’œuvres, d’images et d’archives produites en lien avec le mouvement de décolonisation et les luttes féministes qui se sont développées depuis l’Algérie – comme autant d’échos, de fragments et de voix d’émancipations toujours en cours.
L’exposition est organisée en quatre chapitres et réunit des projets d’artistes algérien.ne.s, français.e.s, guadeloupéennes, palestiniennes, serbes, sénégalais.e.s, libanaises, équatoriennes et américain.ne.s -, nombre d’entre eux.elles étant des ancien.ne.s ou actuel.le.s résident.e.s de la Cité internationale des arts qui sont mis en dialogue. Des figures tutélaires des Djamila(s), aux multiples visages, à la résurgence de Frantz Fanon et à la convergence des solidarités transnationales jusqu’aux échos de la résistance d’hier à aujourd’hui, Ces voix qui m’assiègent… propose au public de traverser une constellation de peintures, sculptures, installations, vidéos, films, affiches et archives.
Avec les artistes : Dennis Adams, Yazid Arab, Marwa Arsanios, Ariella Aïsha Azoulay, Louisa Babari, Rehaf Al Batniji, Aya Bennacer, Sarah Fila-Bakabadio, M’Hamed Issiakhem, Camille Kaiser, Hamedine Kane, Mohamed Khadda, Bouchra Khalili, Mourad Krinah, Léopold Lambert, Nawel Louerrad, Sarah Maldoror, Dalila Mahdjoub, Estafanía Peñafiel Loaiza, François Roulet, Carole Roussopoulos, Zineb Sedira, Djamel Tatah, Mila Turajlić, Agnès Varda, Beth Weinstein, Sofiane Zouggar.
Avec la contribution de : Chris Marker (archives) et La Place – revue féministe