Réseau artcontemporainParis / Île-de-France

TaxiTram – Samedi 15 novembre 2025

Centre Photographique d’Île-de-France (Pontault-Combault, 77)
Plongées, fragments, répliques

Visite guidée de l’exposition avec l’équipe du centre d’art

Première exposition personnelle d’Isabelle Giovacchini en centre d’art, Plongées, fragments, répliques offre un regard inédit sur son travail de sélection, de manipulations et d’expérimentations à partir de fonds iconographiques ou d’images trouvées. Si la démarche de l’artiste s’inscrit dans le champ de la création contemporaine qui fait des photographies existantes son matériau premier, sa singularité se dessine dans l’indétermination et le trouble que suscitent ses images transfigurées. (Lire la suite)

Centre d’art contemporain de la Ferme du Buisson (Noisiel, 77)

Visite des expositions monographiques avec un·e médiateur·rice

Monia Ben Hamouda

Née en 1991 à Milan, Monia Ben Hamouda présente sa première exposition personnelle en France au Centre d’art contemporain de la Ferme du Buisson. Tuniso-italienne, sa pratique artistique est fortement influencée par son héritage familial et culturel et notamment par la calligraphie islamique. (Lire la suite)

patricia kaersenhout

patricia kaersenhout est née aux Pays-Bas de parents surinamais. Elle déploie une pratique transdisciplinaire qui s’intéresse aux conséquences du colonialisme sur notre présent. Son travail porte sur les mouvements politiques de la diaspora africaine et leur relation avec le féminisme, la sexualité, le racisme et l’histoire de l’esclavage. (Lire la suite)

Maison Populaire (Montreuil, 93)
Heel-Turn 

Visite guidée de l’exposition avec Camille Martin, commissaire en résidence et Yannis Briki, artiste en résidence de création numérique 

HEEL TURN explore les glissements moraux, les renversements de rôle et les stratégies de contournement que les artistes activent face aux attentes – celles du public, de l’institution, de leur propre image. Emprunté au lexique du catch, le « heel turn » désigne le moment où le héros bascule du côté obscur. Ce retournement, loin de trahir, révèle ce que Roland Barthes nomme « le salaud parfait » : une figure qui ne déçoit jamais parce qu’elle incarne pleinement ce qu’on attend d’elle. Mais que se passe-t-il quand l’artiste refuse ce rôle assigné ? (Lire la suite)