Réseau artcontemporainParis / Île-de-France

Du 15 - 04 au 04 - 09 - 2022

Saison
Réclamer la terre

Huit expositions

Jusqu’au 04/09

• Réclamer la terre

Cri de ralliement autant que prise de conscience, cette exposition collective rassemble quatorze artistes qui développent de nouvelles connexions avec la nature, le vivant ou l’environnement.

Jusqu’au 12/06

• Eva Medin, Les aubes chimériques
Si Eva Medin use de fiction, elle la met au service d’une lecture acerbe du présent. L’intention scénographique et l’emploi de matériaux empruntés aux trucages cinématographiques composent ici un tableau en volume.

Jusqu’au 24/07

• Hélène Bertin, César Chevalier Couper le vent en trois
Cette exposition fait la part belle à l’expérimentation joyeuse, à l’ouvrage collectif et à la sensibilité nourrie par l’apprentissage dans les domaines perméables de l’art et de l’agriculture.

• A roof for silence, conçu par Hala Wardé en collaboration avec Etel Adnan
Avec le concours d’Alain Fleischer – Le Fresnoy et Soundwalk Collective
Après sa présentation à la 17e Biennale d’architecture de Venise en 2021, A Roof for Silence, Pavillon libanais imaginé par l’architecte Hala Wardé et l’artiste et poétesse Etel Adnan s’enracine au Palais de Tokyo, en résonance avec la saison Réclamer la terre.

Jusqu’au 04/09

• Mimosa Echard, Sporal
Le projet Sporal poursuit la recherche initiée par Mimosa Echard en 2019
à la Villa Kujoyama (Kyoto) sur l’idée de mémoire chez les myxomycètes, organismes unicellulaires à chemin entre le règne animal, végétal et celui des champignons.

• Laura Henno, Ge ouryao ! Pourquoi t’as peur !
Laura Henno présente un ensemble de films et de photographies réalisés depuis 2013 dans l’archipel des Comores, notamment à Mayotte et à Anjouan. Sa nouvelle installation vidéo clôt un corpus d’œuvres qui sonde un territoire contrasté, fissuré par les politiques migratoires et par un héritage colonial omniprésent.

• Aïcha Snoussi, Nous étions mille sous la table
Empruntant à la fois les codes esthétiques de la science-fiction et de l’archéologie, faisant le pont entre les hyper-loins temporels du passé et du futur, l’exposition se présente comme une grotte animée par des fêtes passées.

• Les 20 ans du Jardin aux habitant·es par Robert Milin
Créé en 2002 par l’artiste Robert Milin, le Jardin aux habitant·es rassemble des jardinier·es amateur·rices autour de l’entretien d’une parcelle de terre arable située contre le Palais de Tokyo. Les vingt ans de l’œuvre offrent l’occasion d’étudier son processus collaboratif et de célébrer son évolution.