Géopolitique de l’oubli 
 Daphné Le Sergent 

Daphné Le Sergent mène ses recherches autour des notions de schize et de déterritorialisation. Son travail interroge la construction de l’identité et propose une analyse du paysage frontalier comme phénomène de perception, assimilable à un écran.

Avec « Géopolitique de l’oubli », l’artiste s’intéresse à l’industrialisation et à l’externalisation de la mémoire à l’ère du post-digital. Elle imagine deux communautés, les Sum et les May, où l’alphabet est mis en place pour libérer la mémoire humaine de la complexité de l’écriture-image, fondée sur les glyphes, pictogrammes ou idéogrammes.